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Saki
Saki
Messages : 17
Drachmes : 2130
Date d'inscription : 28/06/2018
Camp : Cuirasse d'Enyo




Votre Héros





Nom : Murakami
Prénom : Saki
Âge : 19
Sexe : Féminin
Pays d'Origine : Japon
Faction : Mercenaires
Armure : Cuirasse d'Enyo



Description physique : Grande d’environ un mètre soixante-trois, Saki dispose d’un corps particulièrement svelte et athlétique, un physique cultivé au fil des ans par la jeune demoiselle avec beaucoup de soin et de rigueur. De surcroît, elle fait preuve d’un maintien impeccable et accorde beaucoup d’importance à sa posture, surtout lorsqu’elle est un public.

Son visage – assez pâle – le plus souvent marqué par une expression froide et inflexible est encadré par une assez longue chevelure mauve, résultat d’un « caprice capillaire » de la Mercenaire et des teintures subséquente. Il est également possible de démarquer ses yeux qui sont ordinairement bruns, bien qu’ils tendent à s’éclaircir et à devenir jaune lorsqu’elle emploie activement son cosmos.

En terme vestimentaire, Saki n’a pas de préférences particulières, elle s’adapte selon ses envies, la situation dans laquelle elle se trouve, ceci dit elle a tendance à faire preuve d’une certaine pudeur et à tendance à ne pas révéler sa peau blanche plus que de raison.


Description mentale : En général, le premier trait qu’on distinguera chez Saki – hormis son apparence hétéroclite – est son manque cruel de sociabilité ; véritable oiseau de nuit qui affectionne plutôt la solitude et le confort – relatif certes – de sa tente – du moins, lorsqu’elle n’explore pas le monde ou de remplit l’un de ses contrats – à la compagnie d’autrui. Une attitude développée par la Mercenaire après de nombreuses années passées dans un cadre éducatif purement élitiste. Ceci étant dit, elle reste capable de faire des efforts au niveau social – bien que ce soit rare – et est pleinement capable de tenir une discussion, bien qu’elle aura tendance à être particulièrement directe dans ses propos, sans oublier le fait qu’elle ait un peu de mal à interpréter convenablement des traits d’humour par exemple.

Au-delà de ça, Saki adore la liberté offerte aux Mercenaires, elle prend un certain plaisir à voyager ici et là et à profiter de la « simplicité » de son quotidien, contrairement aux longues journées bourrées d’heures d’études qu’elle a toujours connues. Elle est d’ailleurs plutôt curieuse et a généralement tendance à s’intéresser aux multiples facettes des lieux qu’elle visite; du moins lorsqu'elle est intéressée par les facettes en question et qu'elle ne soit pas prise par un accès de flemme - qui sont assez réguliers mine de rien chez Saki.

Dernièrement, la jeune femme n’est pas la porteuse de la Cuirasse d’Enyo pour rien. Si d’ordinaire, Saki a tendance à éviter de s’engager pleinement dans un conflit, cependant, si la Mercenaire est contrainte de « partir en guerre » contre un ou des opposants, elle ne cherchera que l’annihilation pure et sanglante de toutes formes d’oppositions.


Capacités :



Supercharger – Très simplement, Saki utilise son cosmos afin d’amplifier de manière marquée ses performances physiques. Si cet usage peut se révéler très puissant et permettre à la demoiselle de réaliser des prouesses exceptionnelle, c’est aussi une épée à double tranchant pour la jeune femme. En effet, surpasser ses limites physiques de manière trop excessive ou de manière prolongée a tendance à endommager le corps de la Mercenaire. De même, lorsqu’elle utilise trop de cosmos via ce procédé, ses capacités cognitives ont tendance à être diminuée.

[Bonus] « Muramasa » - Saki possède un simple katana – bien qu’il soit renforcé pour convenir à un usage « héroïque » - qu’elle a dénommé ainsi dans la mesure où elle ne le dégaine exclusivement lorsqu’elle est sérieuse - et donc compte faire couler le sang durant un combat la plupart du temps. Si elle est encore loin d'être une maîtresse du Kenjutsu, Saki reste néanmoins tout à fait capable de manier son arme avec une certaine adresse.


Histoire : Maintenant que j’y pense, j’aurais pu avoir une vie stable et tranquille si je m’étais accrochée quelques années encore, j’aurais pu gagner ma vie relativement décemment en faisant quelque chose que j’appréciais de surcroît, j’aurais pu hérité de l’affaire familiale, une firme de dojos plutôt fructueuse, et ainsi suivre simplement le chemin tracé par mes parents. Mais depuis, j’ai largement dévié de ma route, suffisamment pour tomber sur un chemin qui peut être suivi uniquement par ceux qui sont communément appelés des « Héros ».

Entre nous, ce n’est pas une grande perte, je n’ai jamais aimé le chemin qu’on m’avait tracé. Si, dans l’absolu, je suis reconnaissante envers mes parents de m’avoir inculqué des notions importantes dans la vie, notamment le respect – une notion qui selon moi, a tendance à se perdre – et pour le meilleur ou pour le pire, un goût du travail bien fait.

Après tout j’ai passé une grande partie de ma vie à me conformer du mieux que je le pouvais au système scolaire nippon, un système scolaire où l’esprit de compétition était souvent rude. Il fallait produire les meilleurs résultats possibles, surpasser les autres pour prétendre à des places dans les meilleurs établissements. Mon père, ainsi que ma mère dans une moindre mesure étaient inflexibles à ce sujet : Ils voulaient que je fasse partie de « l’élite ». Pour ça en plus des cours normaux, je suivais des cours du soir tous les jours, sans oublier les révisions en supplément. Les seuls moments où je pouvais me détendre furent mon apprentissage des arts martiaux sous la tutelle de mon père. C’est un domaine dans lequel je m’épanouissais largement plus que durant les cours conventionnels, tout d’abord une passion, c’est rapidement devenu un art de vivre pour moi. C’est bel et bien avec ce mode de pensée que j’ai plutôt réussi à supporter mes années d’études en plein cœur de Tokyo, du moins jusqu’à un jour très précis.

Jusqu’à ce fameux jour, je n’avais quasiment jamais entendu parler des « Héros », ces personnes dotées de pouvoirs hors du commun et qui protégeaient le monde de menaces « extraordinaires ». C’est justement en voyant l’une de ces menaces de mes propres yeux que je suis devenue une « Héroïne ». Ce jour-là, le premier jour de mes vacances d’été pour être précise, nous – ma famille et moi donc – avions prévu de (re)visiter Kyoto. C’est sur le long et fastidieux trajet qu’on croisa une aberration tout droit sorti du folklore nippon au beau milieu de la voie rapide : un Oni. Cette monstruosité géante et rouge semait allégrement la dévastation sur son passage alors que nous autres humains étaient strictement impuissants. Je me souviens encore du moment où je fixais la créature, où j’avais l’impression d’être paralysée par la peur, je me souviens aussi et surtout du moment où j’ai fait un pas malgré tout, je voulais agir, j’espérais arrêter ce monstre. Alors que ces pensées devinrent de plus en plus fortes, je sentais ma conscience « s’évanouir ».

Lorsque je me suis réveillé, plus rien n’était comme avant, je me souviens encore de l’énorme douleur qui parcourait mon corps, d’une chambre que je ne connaissais pas et surtout d’un homme que je ne connaissais pas. Cet homme qui se présentait comme un vagabond était un Héros. Il m’avait raconté comment je m’étais éveillé temporairement au pouvoir des Héros, le Cosmos, face au Oni, il m’avait aussi expliqué que j’avais réussi à le ralentir temporairement, suffisamment longtemps pour qu’il puisse arriver sur les lieux et le terrasser. Il m’avait également dit qu’aux yeux du monde qu’il avait veillé à soigner mes blessures résultantes à mon éveil brutal du cosmos, mais que j’étais aussi portée disparue.

Au début, je ne croyais pas du tout cet homme, je le voyais comme un illuminé de plus qui se prenait pour un Héros. Néanmoins, en le côtoyant quelques temps, j’ai vu de mes propres yeux les talents de cet homme pour réaliser des prouesses hors du commun. Il pouvait adoucir ma douleur d’un simple contact, pouvait réaliser des prouesses physiques jugées prodigieuses pour des athlètes de haut niveau sans la moindre difficulté. Au bout d’un temps, je lui ai demandé de m’apprendre les voies du cosmos, je voulais en apprendre plus sur cette force qui rendait l’impossible possible. J’ai passé deux ans de ma vie, deux ans loin des miens aux côtés de cet homme que je voyais comme un Sage, j’ai beaucoup appris sous sa tutelle. J’ai plus ou moins appris à canaliser mon cosmos pour renforcer mon corps, à appliquer mes propres connaissances martiales en situation réelles et à m’améliorer dans ce domaine. Entre temps, je faisais aussi mes propres expériences avec mes nouvelles facultés et j’ai très rapidement découvert le revers de la médaille concernant le cosmos, s’il était bel et bien possible de transcender le statut de simple humain aussi, il était aussi bien facile d’en perdre le contrôle pour le meilleur ou pour le pire. D’ailleurs au jour d’aujourd’hui, même si j’ai fait de bon progrès pour contrôler mon cosmos, je reste sujette à de violentes pertes de contrôle par moment.

Puis vint le jour, peu après mon dix-huitième anniversaire où il m’expliqua ce qu’il savait des grandes factions de Héros de ce monde : les
Chasseurs ainsi que les Chasseresses, les Chevaliers, les Tsunamis, les Faucheurs et finalement les Mercenaires. Il me déclara également que j’étais pleinement apte à joindre l’un de ses groupes si jamais je ne voulais pas retrouver une vie « normale ». L’histoire retiendra que j’ai choisi de tracer ma propre route, qu’après plusieurs semaines de réflexions, j’avais décidé de tenter ma chance chez les Mercenaires.
Le jour où je mis les pieds au Camp d’Entraînement des Mercenaires, je fus radicalement dépaysée. Entre les attitudes spartiates et les températures élevées, autant dire que ça changeait radicalement de mes années de vie au Japon. Pour intégrer les Mercenaires d’Arès, je fus soumise à une épreuve bien simple sur le papier, je devais combattre dans l’arène, je devais tout simplement accrocher des faits d’armes à ma ceinture et prouver que je méritais de revêtir une Cuirasse.

Alors c’est ce que j’ai fait, jour après jour je démontrais ma supériorité sur d’autres apprentis Mercenaires, parfois avec une extrême facilité, parfois en arrachant une victoire au bout d’un combat épuisant. Cependant, un jour, pendant l’un de ces combats difficiles, j’avais décidé de prendre le risque de dépasser mes limites usuelles, en procédant ainsi, j’ai pu dominer mon opposant du jour sans efforts, à vrai dire, je le massacrais purement et simplement sans que personne ne daigne m’interrompre. Ce qui stoppa mes pulsions belliqueuses fut l’apparition d’un « totem » juste devant mes yeux, en plein milieu de l’arène ; un évènement qui choqua une grande majorité des spectateurs du combat. Le totem se disloqua brutalement et les pièces d’armure vinrent recouvrir mes vêtements d’apprentis maculés de sang ; en même temps que les morceaux de métal prenaient leur place, mon propre cosmos semblait muer, il prit la forme d’une femme dont les habits rappelaient les kimonos de mon pays, idem pour le masque que cette manifestation portait ; et entre nous le simple fait de porter cette armure me donnait l’impression d’être plus puissante que je ne l’avais jamais été. C’est ainsi que j’ai eu le privilège de porter l’une des armures les plus prisées des Mercenaires, la Cuirasse d’Enyo ; c’est également ainsi que j’avais mérité ma place au sein du Camp d’Arès. Depuis, je vole de mes propres ailes, j’effectue des missions pour le compte du Dieu de la Guerre, je profite d’une vie dont le maître mot est la « liberté ». Et ma foi, je ne regrette pas d’avoir quitté les miens ainsi que ma vie extrêmement routinière et exigeante au Japon.



Vous

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Héra
Héra
Messages : 4
Drachmes : 2152
Date d'inscription : 28/06/2018
Localisation : Olympe
Camp : Kamui d'Héra




Bravo jeune guerrière, je te félicite pour l’acquisition musclée de ton armure. J’espère que tu t’amuseras bien dans ton camp et bien sûr, que tu ne te laisseras pas marcher sur les pieds par Arès.

Bisous de tata Héra.
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